Le droit à l’IVG est un droit fondamental qu’il faut rappeler, réaffirmer et défendre encore et toujours ! 40 ans après l’ouverture le 26 novembre 1974 par Simone Veil des débats parlementaires à l’issue desquels la France reconnaissait dans son droit l’interruption volontaire de grossesse (IVG)je tiens à saluer le courage et la ténacité de Simone Veil dans ce combat difficile pour les droits des femmes.
L’Assemblée nationale a adopté mercredi 26 novembre une Résolution réaffirmant l’engagement de la France à défendre et promouvoir l’accès sûr et légal à l’avortement, et à faire progresser les droits des femmes dans l’ensemble de nos sociétés, en France, en Europe et dans le monde.
40 ans après l’ouverture le 26 novembre 1974 par Simone Veil des débats parlementaires à l’issue desquels la France reconnaissait dans son droit l’interruption volontaire de grossesse (IVG) il est toujours essentiel de se mobilier pour que ce droit s’applique effectivement dans notre pays et partout dans le monde.
A l’occasion de cet anniversaire, je tiens à saluer le courage et la ténacité de Simone Veil dans ce combat difficile pour les droits des femmes.
Le droit à l’IVG est un droit fondamental qu’il faut rappeler, réaffirmer et défendre encore et toujours ! D’ailleurs, début 2015, le Gouvernement présentera un programme national d’actions pour garantir et améliorer encore l’accès à l’IVG sur l’ensemble du territoire.
Les récentes remises en cause en Europe rappellent l’importance de la mobilisation pour le droit à la santé, pour les droits des femmes à disposer librement de leurs corps et pour l’accès universel à la planification familiale.
L’Assemblée nationale :
- Réaffirme donc l’importance du droit fondamental à l’interruption volontaire de grossesse pour toutes les femmes, en France, en Europe et dans le monde.
- Rappelle que le droit universel des femmes à disposer librement de leur corps est une condition indispensable pour la construction de l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, et d’une société de progrès.
- Affirme le rôle majeur de la prévention, et de l’éducation à la sexualité, en direction des jeunes.
- Affirme la nécessité de garantir l’accès des femmes à une information de qualité, à une contraception adaptée, et à l’avortement sûr et légal.
- Souhaite que la France poursuive son engagement au niveau européen, comme international, en faveur d’un accès universel à la planification familiale.